Mon histoire

La conquête. Partie 1

Chapitre 1
La grande armée de Rhûn



Une ombre s’étend vers l’est, les orques du Mordor sont de plus en plus actifs. Mais les Orientaux sont les seuls qui ont su construire une forteresse imprenable en Ithilen du nord. Il existait une autre forteresse, Amon Barad, elle appartenait autrefois au Gondor jusqu’à ce que Khamûl, second des Neuf et lieutenant de Dol Guldur, détruisît Amon Barad avec ses légions d’Orientaux. Cette forteresse, appelée la nouvelle Lhanzaghad, abrite 50000 Orientaux mais aussi 100 uruk-haï, 5000 Variags de Khand et assez d’engins de siège pour prendre Minas Tirith et toutes les villes qui l’entourent . Khamûl attend encore l’arrivée de Keiseimu, un des plus grands rois de Khand, avec 100 de ses plus forts guerriers, et un prisonnier : Cirion le capitaine des Gondoriens qui devaient défendre l’Ithilien contre les Orientaux.

Keiseimu attendait l’arrivée de ses cavaliers partis en éclaireur, car des Gondoriens surveillaient toute la région. Ses cavaliers arrivèrent enfin et lui expliquèrent la situation. L’ennemi se trouvait à environ 16 kilomètres d’eux et était trois fois plus nombreux. Le seul moyen de franchir les lignes ennemies est de passer près du marais des morts. Mais Keiseimu a un autre plan.
- Préparez vous à partir pour la nouvelle Lhanzaghad ; vous direz que nous avons besoin de renforts le plus vite possible, ordonna Keiseimu aux éclaireurs.
- A vos ordres seigneur, répondirent les éclaireurs


Ils arrivèrent à destination, des uruk-haï les arrêtèrent. Le capitaine les questionna : Halte ! Que faites vous ici ? Qui vous envoie ?
- Le seigneur Keiseimu nous envoie. Nous avons besoin de renforts au plus vite.
- Bien je vais appeler le seigneur Khamûl, il saura quoi faire.
Quelques heures plus tard le capitaine revient près des cavaliers.
- Nous vous enverrons une légion d’Orientaux. Ils partiront demain à l’aube.

Keiseimu et ses hommes étaient déjà sur le champ de bataille, les Gondoriens aussi.
- Ils ont mis toutes leurs phalanges pour nous barrer le chemin, dit Keiseimu à son état-major. Nous avons deux possibilités, soit envoyer nos chars, soit les harceler avec nos flèches. Construisez des barricades pour les archers, s’ils chargent nous enverrons nos chars et nos cavaliers.
Keiseimu expliquait sur une carte les zones de combats à son état-major quand soudain des flèches vinrent s’écraser tout près d’eux.
- La bataille commence.
- Qu’allons nous faire, Roi ?
- Faites comme je vous ai dit, mais mettons-nous à l’abri dans la forêt, mais sans tirer. Nous devons attendre l’arrivée des renforts.

Une heure après, on entendit des bruits de pas et des cris de guerre en langue orientale, enfin suivis de bruits de galops. Keiseimu pouvait enfin charger l’ennemi.
- Chargez ! cria Keiseimu.
Ils virent les Orientaux se battrent contre les Gondoriens, les cataphractaires Orientaux chargèrent et écrasèrent tout sur leur passage.

J'adore bonne continuation

Rrrrrr pourquoi ten de haine avec les Gondoriens

^^ Tres sympa l'histoire de mieux en mieux écrit avec des dialogues et des actions. On pourrait presque croire que les légions de khamul était sympathique et gentil..

Tres bien faite l'histoire bravo!!!


Flood et monolignes interdit

Très sympa, avec beaucoup d'action !

Citation :

Rrrrrr pourquoi ten de haine avec les Gondoriens

Mmmmmmh... pour une fois qu'ils perdent ... ^^

Petit HS si j'aurais était dans le combat et j'aurais mené ces troupes nous aurions gagner . Fin du HS

Le Gondor ne faisait plus le poids face aux Orientaux d’un côté et les Variags de Khand de l’autre, car sa stratégie était basée sur la rapidité. Il avait perdu la moitié de son armée et toute sa cavalerie.
Le général Sahkahir, qui commandait les Orientaux et s’était battu souvent contre les Gondoriens, trouvait sa victoire trop facile. Il tua lui-même le dernier Gondorien.
Il s’approcha du roi Keiseimu et lui dit : - Je vous salue roi Keiseimu. Nos pertes ne sont pas énormes. Où est le prisonnier Cirion ?
- Ne vous en faites pas il n’a rien du tout, répondit le Roi, mais à qui ai-je l’honneur ?
- Je suis le général Sahkahir.
- Ah oui, vous êtes celui qui a la hallebarde sacrée du premier souverain de Rhûn.
- C’est exact, mais nous l’appelons Ballahâsaräsh.
Sahkahir montra la hallebarde. Il ne portait pas de bouclier qui aurait rendu le maniement de Ballahâsaräsh très difficile.
- Nous vous escorterons jusqu’à nouvelle Lhanzaghad, dit le général.


Plus loin, dans la frontière entre le Mordor et le Khand……

Gorbag, capitaine renégat d’une troupe de 1000 orques, essaie de prendre le contrôle total des armées du Mordor. Il a l’intention de prendre d’assaut un village de Khand, mais il ne sait pas qu’il n’y a plus de villages mais des citadelles ou des villes. Son armée se compose de : uruk-haï du Mordor, des chevaucheurs wargs, des trolls, des catapultes et des orques.
- Allons vers le village le plus proche, ordonna Gorbag.
Ils coururent quelques kilomètres, quand ils virent à la place d’un village, une citadelle. Ils étaient désespérés, il faudrait des jours pour prendre cette citadelle.
- Ne vous en faites pas ! Si nous réussissons, nous aurons une solide réputation, dit Gorbag en encourageant ses troupes. En avant !

Des jours plus tard,…


Les orques n’avaient toujours pas réussi à prendre la citadelle ; pourtant, au départ, ils étaient deux fois plus nombreux que les Variags. La porte de la Citadelle s’ouvrit et il en sortit cent chars rasant tout sur leur passage, suivis de l’infanterie. C’est à ce moment-là que Gorbag envoya ses trolls sur l’infanterie. Le combats était rude, les Variags esquivaient beaucoup de coups des trolls mais les monstres finirent par les abattre tous. Les trolls furent achevés par les chars. L’armée de Gorbag était en déroute. Le capitaine orque agita le drapeau blanc et demanda à parlementer. Il proposait de combattre leur meilleur guerrier en combat singulier. La porte s’ouvrit, livrant passage au chef de la citadelle, nommé Hairesmir, armé d’une armure, d’un casque et d’une hache. Gorbag, lui, avait une épée et une armure souillée. Le combat commença. Hairesmir maîtrisait parfaitement l’art du maniement de la hache, les armes s’entrechoquèrent. Gorbag prit l’avantage en lui donnant un coup de pied retourné. Le chef tomba à terre. Sa hache se situait à quelques mètres de lui, le Variag allait être achevé par Gorbag. quand soudain il lui donna un coup de pied au ventre. Il se releva et roua de coups Gorbag, jusqu’à ce qu’il soit assommé. Hairesmir prit sa hache, l’orque se releva et fonça de colère en direction du Variag. Hairesmir lui trancha la tête, le corps retombant lourdement à terre.
Les soldats de Khand crièrent de joie. Ils avaient gagné une grande bataille. Hairesmir rentra dans son palais et repensa à son combat contre Gorbag.

Voilà la suite...

Super bien bonne histoire mais des trolls contre des chars... Les trolls aurait du les tuer tous facilement...^^

J'adore ton histoire vivement la suite

J'adore !

Vivement la suite !

Dans le Rhûn, plus précisément dans la capitale : Lhanzaghad…….

Le roi Caräak était sur son trône, son état-major lui expliquait les dernières nouvelles dans l’Ithilien. Le roi Keiseimu était bien arrivé à la nouvelle Lhanzaghad mais s’était fait attaquer par une patrouille Gondorienne.
- Et les Nains ont-ils réessayé de reprendre leur ancienne forteresse ? demanda Caräak
- Oui, mais ils ont échoué ; par contre ils ont construit une autre forteresse près des montagnes dans le Rhûn. Répondit le général Amballâcsh.
- Envoyez des légions d’Orientaux et prévenez les Haradrims pour qu’ils viennent nous aider.
- A vos ordres !

En Ithilien, à la nouvelle Lhanzaghad…..

Sahkahir, Keiseimu et leurs soldats arrivèrent à la forteresse. Dans la salle du trône de Khamûl…

- Je vous félicite Général, dit le Nazgûl, où est le capitaine Cirion ?
- Faites entrer le prisonnier, ordonna Sahkahir à ses soldats.
Cirion entra dans la pièce, il était enchaîné. Les Orientaux l’obligèrent à se mettre à genoux devant Khamûl.
- Alors ! Comme on se retrouve, Cirion, dit Khamûl. Depuis votre assaut sur une autre forteresse, j’ai décidé de vous traquer pour avoir enfin votre tête.
- Alors faites-le, Nazgûl, si vous me tuez, vous aurez tout le Gondor à vos trousses.
- Le Gondor est brisé, vous avez échoué, dit Khamûl. Sahkahir, mettez-le en cage.
- Mais et le combat… vous m’aviez dit que je pourrais le tuer en combat singulier, protesta le général.
- Il est beaucoup trop faible. Il ne ferait pas le poids face à vous, répondit Khamûl, vous êtes le plus puissant de tous les guerriers de Rhûn.
Sahkahir allait quitter la pièce avec Cirion quand Khamûl l’interpella : - Encore une chose, vous êtes le premier qui à m’avoir tenu tête. Mais si vous recommencez, je serai dans l’obligation de vous tuer.
Le général sortit de la pièce.

Quelques jours plus tard, dans le Rhûn…

Amballâcsh et ses soldats attendaient devant la forteresse des Nains ; l’objectif était simple : harceler l’ennemi avec des flèches et attendre l’arrivée des Haradrims, car les Nains étaient beaucoup plus nombreux que les Orientaux.
- Que devons-nous faire, Général ? demanda le capitaine Sork, nous attendons ici depuis 5 jours et ces maudits Nains n’ont toujours pas riposté quand on a tiré.
- Nous devons attendre, Capitaine. Les Nains ne savent pas que des Haradrims viennent nous aider. Nous sommes au nord de la forteresse et nos alliés arriveront par le sud. Ils ne sont pas assez nombreux pour se battre sur deux fronts. Voilà pourquoi nous devons attendre.
- Et quand nous aurons pris cette forteresse, nous la détruirons ?
- Non, comme je connais bien le caractère de Daïn Pied De Fer, il ne supportera pas une nouvelle défaite et enverra toute son armée contre nous. Evidemment, nous aurons une autre légion d’Orientaux, ils attendent près de Tset-Hedren qui est à 20 kilomètres de notre position.
Le capitaine était étonné qu’une de leurs légions soit si près d’eux.
- Mais alors, pourquoi ne pas les appeler ? Ils iraient plus vite que les Haradrims ?
- En effet, la légion devrait passer par la grande forêt de Sheyrä. Cela prendrait plus ou moins une journée ; alors que les Haradrims ne sont plus qu’à deux heures de route. Maintenant, préparez-vous au combat.

Deux heures plus tard….
Les Haradrims arrivèrent par le sud. Ils avaient un Mumakil et des cavaliers. La bataille commença, les Haradrims lançaient des rafales de flèches tandis que les Orientaux tiraient avec une baliste. La baliste eut le temps de détruire la porte, malgré la riposte des Nains ; qui avaient eux aussi une baliste, malheureusement moins puissante. Le Mumakil défonça l’autre porte, et les archers qu’il transportait tirèrent sur tous les Nains sur la muraille.

Amballâcsh était rentré dans la forteresse, tout se passait comme prévu. Il dégaina son cimeterre et tua quelques Nains qui étaient sur sa route. Il menait avec lui 20 gardes dragons. C’étaient des gardes du corps et ils étaient armés de hallebardes. Pendant ce temps, ses archers tuaient tous les archers ennemis qui se situaient sur la muraille. Les Nains s’étaient regroupés au centre de la forteresse et combattaient déjà contre des Orientaux.
- Chargez l’ennemi, ils vont voir ce qu’est la colère des Orientaux ! cria le Général.
Le combat était acharné, les Nains se battaient plus efficacement, mais à chaque fois qu’un Oriental mourrait, deux Nains se faisaient tuer par les coups de cimeterres et d’hallebardes.
Finalement les Nains perdirent la bataille.


En Ithilien…

Sahkahir menait avec lui 10 légions d’Orientaux ( ce qui veut dire 10000 Orientaux), leur objectif consistait à attaquer Osgiliath. Ces 10 légions se partageaient en 4 légions de cataphractaires et 6 légions d’infanterie. Sahkahir était sur un cheval avec une armure plus lourde que les autres.
« Enfin les Gondoriens perdront leur défenses et là, tout sera terminé », pensa le Général, « et je pourrai gouverner la Cité Blanche ».
Ils arrivèrent en vue d’Osgiliath.
- Halte, ordonna Sahkahir, dans une heure, vous enverrez des rafales de flèches pendant qu’on se postera à l’entrée, prêts à charger. L’infanterie attendra mon signal. Vous m’avez bien compris ?
- Oui Général, répondirent les 10000 Orientaux.
- Bien ! La bataille peut enfin commencer, dit Sahkahir.

Dans le Rhûn….


Amballâcsh voyait l’autre légion d’Orientaux entrer dans la forteresse. Si les Nains attaquaient, ils seraient bien surpris de ce qui les attendait. Il n’y aurait pas que des Orientaux que les Nains combattraient mais aussi un Balrog de Morgoth.
- Général, dit Sork, je crois que nous avons un problème.
- Et c ‘est quoi ? répondit Amballâcsh.
- Un Balrog. Est-ce que je dois ordonner de le tuer ?
- Non, ceci est notre arme secrète. Dites lui que je l’attends à l’intérieur de la forteresse.
- Mais à quoi pourrait-il nous être utile ?
- Vous le verrez bien sur le champs de bataille. Maintenant, allez le chercher.

Quelques instants plus tard….

Le Balrog s’approcha du Général Oriental. Il allait enfin pouvoir tuer les descendants des ennemis de Morgoth.
- Alors êtes-vous prêts pour votre vengeance ? demanda Amballâcsh.
- Oui, répondit le Balrog.
- Comment pouvons-nous vous appeler ?
- Raissius.
- Général, dit Sork, nos éclaireurs ont vu les Nains à 3 kilomètres.
- Et combien sont-ils ? demanda le Général.
- Ils sont 6000. Donc ils ont 4000 hommes de plus que nous.
- Oui mais notre cher allié ici présent va beaucoup nous aider. N’est-ce pas Raissius ?
- Bien sûr.
- Alors, allons à leur rencontre.

Les deux armées attendaient calmement, bientôt la bataille allait commencer. Amballâcsh décida d’envoyer ses troupes à l’attaque. La bataille faisait rage, Daïn Pieds de Fer était lui-même sur le champ de bataille. Les cataphractaires avaient réussi à faire une brèche dans les défenses des Nains, mais une baliste à répétition Naine tirait sur les cavaliers. Ils firent demi-tour pour éviter de perdre encore plus de cavaliers. Amballâcsh tuait tous les Nains qui étaient sur son passage. Bientôt Raissius viendrait et ce serait beaucoup plus facile. Le Général vit sur le flanc droit une dizaine de cavaliers mourir à cause de la baliste : il fallait la mettre hors d’état de nuire. Il demanda à un archer de lui donner son arc et quelques flèches. Il visa d’abord celui qui actionnait la baliste, tira et le toucha à l’œil. Puis il tua le Capitaine ingénieur ; le plus dur restait à faire, il devait détruire la baliste et c’était bien sûr impossible avec une flèche. Pour cela, il avait besoin de Raissius, mais pour l’instant celui-ci planait au-dessus des nuages pour contourner l’armée des Nains. Amballâcsh aperçut Daïn Pied de Fer qui se battait contre des Orientaux et les tuait en quelques coups de hache. Amballâcsh se rua vers lui, il allait enfin se battre contre un adversaire redoutable. Il tua les Nains qui lui barraient la route. Daïn le vit, le duel pouvait commencer. Amballâcsh attaqua le premier, Daïn le bloqua. Après quelques minutes de combat, le Roi des Nains dut se contenter de faire des arcs de cercle avec sa hache pour se défendre du Général Oriental qui tentait de lui couper la tête. C’était presque impossible de l’atteindre.

Pendant ce temps,….

Raissius avait enfin atterri derrière les Nains qu’il écrasait aussitôt. Il était armé d’une épée de flamme, il tua tout les Nains du flanc droit et détruisit la baliste. Il cracha un torrent de flammes. La plaine du flanc droit brûlait. Les Nains étaient piégés par les flammes. Les cataphractaires revinrent à l’assaut, tuant les Nains les uns après les autres. Raissius vit Amballâcsh se battre contre Daïn et fonça droit ce dernier. En s’avançant, il écrasa une centaine de Nains.

Amballâcsh dut laisser le Balrog se battre contre Daïn. Il se retourna contre les derniers Nains, déçu de ne pas avoir pu tuer lui-même leur Roi. Raissius et Daïn se battaient furieusement, le Nain essayant à tout prix de toucher le Balrog. Daïn savait que la bataille était perdue et parvint à s’enfuir, grâce à la diversion de quelques Nains survivants qui réussirent à tirer sur le Balrog. Celui-ci s’envola et retourna dans sa tanière ; si les Orientaux avaient besoin de lui, ils sauraient où le trouver. Les Nains survivants en profitèrent pour s’enfuir dans leur royaume, à la suite de Daïn.

Les Orientaux rentrèrent dans leur forteresse, ils avaient perdu une légion durant la bataille. Amballâcsh décida de rentrer à Lhanzaghad, les Nains étant trop faibles pour encore envahir Rhûn. Et puis cette zone est dévastée.
- Rentrons à la capitale, annonça Amballâcsh.

En Ithilien à Osgiliath…

Les cataphractaires chargèrent les Gondoriens. Un Gondorien tua le cheval de Sahkahir, qui tomba mais se redressa aussitôt pour tuer son agresseur. Le Général appela l’infanterie. Sahkahir était encerclé par une dizaine de Gondoriens, il tua rapidement ceux qui lui faisaient face. Il se retourna et cala l’épée d’un ennemi mais un autre Gondorien lui planta l’épée dans la jambe. Il tua celui qui n’avait plus d’épée et enfonça la pointe de sa hallebarde dans la gorge de son adversaire. Il n’en restait plus que sept, Sahkahir fit tourner sa hallebarde en tuant d’un coup ses ennemis. Mais il restait un Capitaine. Le combat ne dura pas longtemps car le Capitaine fut transpercé par plusieurs flèches. Sahkahir et 30 fantassins Orientaux chargèrent les Gondoriens qui les menaçaient avec un trébuchet. Il y avait là Faramir et 50 Gondoriens. Le combat allait être féroce…

Voilà la suite... ( un peu longue mais c'était pour passer tout de suite au chapitre 2 )

je trouve pas mal comnme c'est ecrit mais beaucoup trop pousser et pas tres historique si cela se passe au 3me age.
Comment des oirentaux peuvent gagner des nains alors qu'ils sont moin nombreux et que se sont les attaquant C'est un peu exageree mai sinon c'est bien

Génial ton histoire, continue !

Par contre c'est pas bien de tuer les nains !

Toujours sympathique à lire ton histoire! continue!
Juste un barog avec les orientaux contre les nains^^ heuresement que dain n'est pas mort

Chapitre 2.
La riposte.



Sahkahir et les Orientaux se battaient contre les Gondoriens qui protégeaient le trébuchet. Faramir tua une dizaine d’Orientaux, Sahkahir en tua lui aussi le même nombre, mais avec plus de violence. Les deux Généraux s’affrontèrent, les coups d’épée et de hallebarde retentirent. Sahkahir prenait l’avantage car il avait plus d’expérience au combat et était mieux entraîné. Faramir tenta tant bien que mal de parer les coups d’hallebardes.
- Pourquoi faites vous cela ? haleta Faramir.
- Pour ma vengeance personnelle, pour agrandir nos territoires, et pour Sauron bien sûr ! Répondit Sahkahir.
- Pourquoi votre vengeance personnelle ?
- Ceci, tu ne le sauras jamais.
Le Général Oriental donna un coup de son arme et transperça l’épaule de Faramir. Il allait donner le coup fatal, mais reçut soudain un coup d’épée dans l’épaule droite. Il se retourna sur le Gondorien, le tua, mais lorsqu’il voulut achever Faramir, celui-ci avait disparu, emporté par un de ses lieutenants. Il détruisit le trébuchet avec les Orientaux qui l’accompagnaient. Il ne restait plus maintenant que 100 Gondoriens dans Osgiliath. Les Orientaux les éliminèrent rapidement.
- Nous avons pris l’une des dernières défenses de Gondor, annonça Sahkahir. Bientôt quand le Seigneur Khamûl donnera son signal, nous attaquerons la Cité Blanche.


Dans le Rhûn, plus précisément dans la capitale Lhanzaghad……


Caräak écoutait le rapport d’Amballâcsh. Ils avaient gagné la bataille, au prix de lourdes pertes. Ses informateurs lui avaient révélé que Daïn se cachait en Erebor. Mais il y avait d’autres nouvelles plus importantes, comme l’attaque imminente à Minas Tirith. Le Général en chef Sahkahir avait rempli sa mission. Le plan de Khamûl l’Oriental avait réussi, mais on devait encore attendre son feu vert.
Bientôt le Gondor ne serait plus et le règne des ténèbres commencerait. Mais pour l’instant il fallait attendre.


A Osgiliath…..

Sahkahir préparait un plan pour assiéger Minas Tirith, quand le Roi Keiseimu arriva à Osgiliath avec 1000 Variags de Khand.
- Roi Keiseimu, dit Sahkahir, sur l’ordre de Khamûl, je serai votre supérieur.
- Oui, je sais. On m’a beaucoup parlé de votre grande stratégie et de votre style de combat, répondit Keiseimu. Vous êtes bien meilleur que moi dans tous ces domaines.
Sahkahir retourna donc à ses préparatifs.

Quelques heures plus tard….

Sahkahir et son armée établirent le siège de Minas Tirith. Les balistes furent placées à l’avant, l’infanterie à l’arrière et la cavalerie sur les côtés.
Les balistes commencèrent à tirer sur les murailles de Minas Tirith, les Gondoriens ripostèrent en catapultant des rochers avec leurs trébuchets. Certains Orientaux ou Variags se firent bien écraser, mais Sahkahir était confiant, la fin du Gondor était très proche. La porte de la cité ne résista pas aux assauts répétés des balistes, mais il leur fallait détruire les défenses des murailles avant de pénétrer dans la cité.
Les balistes tiraient des projectiles enflammés, détruisant tout ce qui se trouvait sur leur passage. Les dernières défenses furent écrasées. Sahkahir donna l’ordre d’entrer dans la Cité Blanche, il envoya d’abord la cavalerie qui dégagea le passage à l’infanterie.

Dans la Cité Blanche…..

Sahkahir était entré dans Minas Tirith, suivi de tous les Orientaux sauf les Variags et une légion. Trente gardes dragons le suivirent vers la grande place, protégée par une septantaine de Gondoriens. Il donna l’ordre aux gardes de brûler la place. Le Général faisait tourner sa hallebarde avec dextérité, attendant l’attaque d’un Gondorien : dix hommes se ruèrent sur lui. Sahkahir en tua trois d’un premier moulinet, évita quelques coups d’épées tout en continuant son massacre des Gondoriens . Il n’en resta bientôt plus que deux. Le premier fut fauché d’un revers de hallebarde. Le dernier était plus doué que les autres, Sahkahir dut bloquer à maintes reprises ses attaques désespérées. Mais vitesse du Général Oriental eut raison du Gondorien, décapité par un mouvement tourbillonnant de la hallebarde.
Tout à coup, retentit une sonnerie de cor. C’était celui de Dol Amroth. Sahkahir n’avait pas prévu cette situation.


Dans les Champs de Pelennor……

Keiseimu entendit le cor, annonçant la charge d’Imrahil de Dol Amroth. Il organisa sa défense. Des milliers de cavaliers allaient déferler en vagues furieuses : Sahkahir devait faire intervenir ses cataphractaires. Les Variags se joindraient à eux.
Mais la furia des cavaliers de Dol Amroth emporta leurs ennemis.
Imrahil et ses cavaliers entrèrent dans Minas Tirith pour tuer les Orientaux qui y restaient.


Dans la cité……

Sahkahir combattait toujours les derniers Gondoriens du premier niveau, lorsqu’il entendit des bruits de galops se diriger vers lui. C’était Imrahil, qui sauta de son cheval, dégaina son épée et se rua sur lui. Imrahil donna le premier coup puissant, que Sahkahir esquiva facilement. Le Général Oriental fit tourner sa hallebarde et faillit toucher Imrahil. Les armes s’entrechoquèrent, aucun des deux adversaires ne prenait l’avantage. Sahkahir tenta un violent assaut, le Prince de Dol Amroth le bloqua avec son épée. Ils étaient arrivés à la place, Imrahil contre-attaqua, il fendit son casque, balafrant Sahkahir de l’œil droit jusqu’à la joue droite. L’Oriental perdit l’équilibre.
- Alors Général Sahkahir, dit Imrahil, ça fait un peu bizarre de se faire tuer par le fils de celui qui a tué votre père.
- Jamais je ne me laisserai tuer par un sale Gondorien, répondit Sahkahir.
- Je pense que ce n’est pas une coïncidence si nos routes se sont croisées. Mon père à tué votre père en Ithilien et vous vous mourrez à Minas Tirith.
Imrahil leva son épée pour achever Sahkahir. Tout à coup, le Général Oriental se releva avec rapidité et balafra lui aussi Imrahil avec sa hallebarde puis il l’assomma. Sahkahir devait sonner la retraite. Il vit le cheval d’Imrahil, et monta dessus. Ils avaient perdu la bataille, mais lui –même avait pu commencer à se venger. Il n’avait pas achevé Imrahil inconscient, qu’il voulait tuer en plein combat.

Voilà la suite...

Toujours bien et je suis content que les orientaux au début presque invincible aient enfin perdu une bataille.^^

Toujours aussi bien, continue !

Citation :

je suis content que les orientaux au début presque invincible aient enfin perdu une bataille

Me too,

Et hooo tu sais ce qu'il te dit le sale Gondorien!
Sahkahir de malheur.:twisted

Dans la nouvelle Lhanzaghad….

Sahkahir et ses troupes revinrent à la forteresse.
Dans la salle du trône de Khamûl….

Sahkahir expliquait le déroulement de la bataille : ils auraient pu gagner si les chevaliers de Dol Amroth n’étaient pas intervenu. Et les Gondoriens pourraient venir jusqu’ici se venger.
- Sahkahir, vous garderez le commandement jusqu’à mon retour, dit Khamûl.
- Où allez-vous ? demanda Sahkahir.
- Dans les montagnes de cendres.
- Pourquoi ? Que se passe t’il là-bas ?
- Un dragon a détruit presque toutes nos colonies dans les plaines brunes du Rhovanion.
- Mais pourquoi nous attaque t’il ?
- Ce dragon vient juste de se réveiller et il ne sait pas que nous vénérons les dragons.
Khamûl se dirigea vers les montagnes de cendres avec son ombre ailée.
Sahkahir reçut quelques heures plus tard un messager venant d’Osgiliath : les Gondoriens les attaquaient !

A Osgiliath…….

La situation empirait d’heure en heure, les Gondoriens gagnaient de plus en plus du terrain. Ils tiraient avec leurs balistes, faisant beaucoup de dégâts. Sahkahir arriva avec des renforts et partit défendre la partie est de la ville avec ses gardes dragons. Il tua quelques Gondoriens, mais fut pris à partie par leur capitaine . Le Général en Chef de Rhûn parait tout les coups du capitaine Gondorien. Il lui transperça le cou puis donna un coup de pied à son adversaire qui entraîna dans sa chute quelques Gondoriens. Sahkahir par ses mouvements rapides faisait des ravages parmi les Gondoriens.

Tout allait pour le mieux, quand, soudain, de gros rochers lancés par les trébuchets s’écrasèrent sur la place, tuant beaucoup trop d’Orientaux. Bientôt, Sahkahir dut sonner la retraite. Il décida de détruire le trébuchet le plus proche de lui et s’empara d’un cimeterre. Il fit un carnage de ses ennemis, à grands coups de hallebarde et de cimeterre. L’Oriental parvint au trébuchet et tua les ingénieurs. Mais des Gondoriens arrivèrent en renforts, ils étaient beaucoup trop nombreux. Et certains avaient l’air de s’être entraîné toute leur vie au combat. Sahkahir commença en premier a attaquer, il en tua beaucoup mais les Gondoriens revenaient en renfort. Le général Oriental fut touché au bras et à la jambe. Il résistait, essayant de tuer le plus possible de Gondoriens, il se battait encore avec une rapidité incroyable. Il ne restait plus que cinq Gondoriens qu’il tua assez vite, sauf le dernier. Celui-ci attaqua le premier, Sahkahir cala le coup et contre-attaqua. Sahkahir évita un coup d’épée, puis transperça le Gondorien au flanc. Puis l’Oriental lui donna un coup de pied à la tête, le Gondorien s’effondra sur un pan de mur, tête la première.

Ailleurs, la situation empirait, Sahkarir devait encore une fois sonner la retraite, mais se serait encore une nouvelle défaite. Les Orientaux refluèrent donc à la nouvelle Lhanzaghad.

Voilà la suite

Génial, continue !!

Tres bon un nouveau boulversement de situation et les orientaux qui perdent mais qui, je parie, vont vite revenir à la charge des gondoriens...^^

^^ ça tu le sauras dans les suites à venir^^
Ps: merci à tous pour vos commentaires

Des jours plus tard, dans le Rhûn, à la frontière de Khand…..


La nuit tombait, des ombres s’avançaient vers des Orientaux qui gardaient les frontières. Les ombres frappèrent vite, la lumière de la lune révéla leur visages. C’étaient des Variags de Khand !
Hairesmir était leur chef, il ordonna à ses soldats, armés de deux haches, d’avancer. Ils arrivèrent au « le voile des larmes ». C’étaient des anciennes cités, puissantes et imprenables mais à présent c’étaient des cités abandonnées et hantées par des esprits d’anciens Orientaux morts aux combats. Personne n’osait s’approcher de « le voile des larmes » mais seulement Sahkahir avait osé. Une fois que Sahkahir est revenu de « le voile des larmes », il s’est senti un peu plus de vitalité et d’envie de vivre, car sa femme et ses enfants étaient mort à cause d’une attaque de Gondoriens. Mais il avait reçu une nouvelle arme : Ballahâsaräsh. Personne ne savait comment il l’avait eu ni comment il a fait pour survivre aussi longtemps au « le voile des larmes ». Sahkahir est respecté et craint de ses soldats et de ses ennemis. Quelques mois après le retour de Sahkahir, des barbares du Rhovanion avaient essayé de prendre les cités hantées car ils voulaient avoir aussi une arme ancienne. Sahkahir et des Orientaux la défendirent mais aucun soldats Orientaux n’osaient rentré dans les cités. Après Sahkahir fut nommé Général en Chef des armées de Rhûn. Hairesmir voulait aussi prendre « le voile des larmes » pour être aussi puissant que Sahkahir, mais ce n’était pas les cités hantées qui avaient rendu Sahkahir aussi puissant, mais c’était de l’entraînement.



A la nouvelle Lhanzaghad….


Un messager rentra dans la forteresse et demanda a parler à Sahkahir…

- Général, commença le messager, j’ai de mauvaises nouvelles. Des Variags de Khand renégats ont pris « le voile des larmes ».
- Qui est leur chef ?
- Hairesmir.
- Alors cet imbécile cherche une arme ancienne, mais il faut qu’il sache que j’ai été choisi par ses esprits pour porter Ballahâsaräsh.
- Que dois-je dire au Roi Caräak ?
- Que je vais m’en occuper.
- Bien je lui dirai.
Le messager partit. Sahkahir ordonna au Roi Keiseimu de prendre le commandement de la forteresse.
Le Général Oriental partit à l’aube avec 90 gardes dragons, car Sahkahir savait que les soldats de Hairesmir n’oseraient pas rentré dans les cités hantées.


Deux jours plus tard, dans « le voile des larmes »…..

Sahkahir et les gardes dragons arrivèrent au « le voile des larmes », il n’y avait personne aux-alentours. Sahkahir dirigea sa troupe vers les cités hantées, les gardes dragon restaient impassible en voyant les cités, ils étaient entraînés pour ne craindre personne. Une fois arrivé dans une des cités, des Variags de Khand sortirent de leur cachette. Ils étaient un peu plus qu’eux, les gardes dragons se battaient avec acharnement. Sahkahir tua des Variags, il avait aperçu Hairesmir et se dirigea vers lui.

Le duel commença, Hairesmir faisait des arcs de cercles avec ses haches, mais Sahkahir esquivait les coups. Sahkahir se disait que c’était un bon guerrier mais par rapport à lui, Hairesmir ne tiendrait pas longtemps. Il commença à pleuvoir, Sahkahir décida de se mettre au même niveau de combat que son adversaire pour que son ennemi soit confiant de sa victoire.

Hairesmir donna un coup de pied à Sahkahir, il tomba par terre. Hairesmir allait l’achever quand soudain Sahkahir se releva et lui donna un coup d’hallebarde dans l’épaule. Puis le Général Oriental fit plusieurs assauts mais pas trop rapide, car Sahkahir voulait le blesser un peu partout puis l’achever. Hairesmir réussit à s’éloigner de Sahkahir pour reprendre son souffle, il ne savait presque plus tenir une de ses haches. Le Chef Variag la lança sur Sahkahir, le Général Oriental l’esquiva avec facilité. Sahkahir continuait d’aller vers Hairesmir, il voyait de la peur dans les yeux d’Hairesmir, le Variag se rendit compte qu’il n’allait pas gagner. Hairesmir rassembla tout ce qui lui restait comme courage et se mit en position de combat, Sahkahir s’arrêta et fit de même.

Les gardes dragon commençaient à prendre le dessus face aux Variags de Khand, mais les Variags bougeaient beaucoup et attaquaient tous ensemble sauf à certain moment ils se cachaient dans le noir et attendaient que leurs ennemis viennent. Mais les gardes dragon avaient des réflexes et tuaient à coup sûr un Variag. Après quelques minutes de combats, les gardes dragons optèrent pour une formation porc épique. C’est à dire qu’ils plaçaient leur hallebarde et se regroupaient de telle façon que presque personnes n’arrivaient à les attaquer, sauf quelques chanceux mais il était rare à ce qu’ils aient le temps d’atteindre leur cible.

Sahkahir attendit patiemment qu’Hairesmir se décide à attaquer. Hairesmir priait à voix basse pour que lui gagne et que Sahkahir meurt dans d’affreuses circonstances. Après quelques instants, Hairesmir chargea sur son ennemi, Sahkahir ne bougeait pas, le Variag allait couper la tête de son ennemi quand soudain l’Oriental para le coups. Puis Sahkahir le poussa, et fit des assauts beaucoup plus puissants et plus rapide. Hairesmir tentait bien que mal de parer les assauts mais en vain. Ils sortirent des cités hantées et se battaient sur la rive de « Jarôkül ». Hairesmir réussit à toucher Sahkahir à la jambe mais l’Oriental se battait toujours malgré la blessure qu’il avait reçue. Le Variag pensa que c’était impossible qu’il résiste à la douleur presque personne ne pouvait résister à ce coup, car Hairesmir a touché le tibias de Sahkahir. Sahkahir donna un coup de poing à Hairesmir puis avec son hallebarde transperça le ventre d’Hairesmir puis il lui coupa la tête. La tête d’Hairesmir affichait de l’effroi, sa tête tomba dans la rivière qui les entouraient. Sahkahir donna un coup de pied sur le corps du Variag qui alla dans l’eau.


Le Général Oriental revint aider ses soldats, les gardes dragons étaient entrain de se battre chacun avaient un ennemi avec qui se battre. Sahkahir tua le reste des Variags. La bataille était terminée.
- Général, dit un des gardes dragon, croyez-vous que d’autres rebelles essayeront de prendre « le voile des larme » ?
- Non, répondit Sahkahir, nous avons donné un avertissement tout ceux qui essaieront de prendre ces cités, seront tués.

Grâce aux gardes dragons qui avaient oser rentrer dans les cités hantées, les Orientaux oseront rentrer dans les cités.

Voici la suite...