HISTOIRE

L’ombre haradrim.
Chapitre 1 : la quête.

En Harondor.

- La forteresse est prise, cria un gondorien, fuyez !
Les haradrims avait portés un assaut contre cette forteresse, avait tous ravagé sur le passage. L’ennemi criant sur les escaliers, se fit transpercer par une flèche tirée par Caryäk. Ce capitaine, voilé par un foulard ne laissant passé que ces yeux, portant une armure lourde en or, deux épées dans son dos et un arc, était l’un des apprentis du célèbre suladân. Un ennemis courra vers l’haradrim, qui esquiva l’attaque et trancha la tête de l’ennemi, ensuite Caryäk se dirigea vers les escaliers, qui menaient à la tour principal. Dedans se cachait des soldats ainsi que les habitants de la ville. Arrivé en haut, la porte était bloquée de l’intérieur, des gondorien montèrent les escaliers, l’épée en main, l’autre avec une lance, pointèrent le capitaine haradrim qui dégaina ses épées. Le premier voulut transpercer Caryäk, mais il riposta, les deuxième lance en main courut vers l’haradrim, il tapa avec son autre armes, le combat fut acharné sur le grand escalier, le capitaine calla un autre coup, puis enfonça son arme dans le ventre de celui-ci, le piquier, a ce moment, se lança sur son ennemis, mais Caryäk abandonna son épée dans le corps de sa victime, coupa la main du gondorien et lui coupa la tête.


Les haradrims, sur le champ de bataille, étaient entrain de gagné, certain montèrent rejoindre leur capitaine, qui ordonna un tir de baliste pour défoncer la porte. La porte s’effondra et des soldats ennemis, sortirent de la pièce, notre héro tira deux flèches tuant, des ennemis, puis prit ses épées et tua des ennemis un par un. La pièce grand ouverte, lançant voir les citoyens caché derrière des tables, ne fit rien a Caryäk, qui avait été enseigné à ne pas avoir pitié par le suladân. Un homme se leva, il devait être le chef de cette tribu courant avec son épée, le capitaine cala le coup et lui enfonça sa dernière épée.


Dehors des cris de joie jaillir, la guerre était finie, les ennemis firent entre posé les uns sur les autres, les survivants allaient sois être tué, sois utilisé comme esclaves. Caryäk sortit de la tour et dit :
- Une fois de plus, nous avons montré au Gondor qui était les plus forts, longtemps ils nous ont traité comme des moins que rien, mais aujourd’hui l’harad a vaincu.
Les cris résonnèrent, mais le capitaine n’avait pas terminé son discours :
- Nous avons, rendu hommage au seigneur serpent, ainsi qu’au suladân, a qui nous devons se peuple de guerriers.

Le général descendit les marges reprenant ses épées qui avaient beaucoup de valeur pour lui, il monta sur son cheval, et pris le chemin vers hasha, ville des mahuds, et royaume des mumakil. Le voyage dura trois semaines, pour arrivé à la grande muraille. Des haradrims, ouvrirent la grande porte, on put voir la grande place occupée par le marché. Cette ville était le lieu de naissance de Caryäk, qui se dirigea vers le temple du roi, avec l’étendard du serpent noir. Il ouvrit la porte, des tapis d’orient recouvrait la salle, de beau pilier gravé étaient dispersé, des bougies étaient allumées. Ou centre de la pièce un mahud priait, le général retira ses chaussure, ainsi que ces armes, puis se mis a genoux.
- Maître je dois vous parler.
- Je t’écoute, qu’est ce qui ne va pas.
L’haradrim remarqua que le mahud n’avait pas fait ses tatouages et dit :
- Une rumeur raconte que le suladân, aurait eu la grâce des dieux, et aura hérité de la vie…
- Éternel, coupa l’autre, oui, comme le roi serpent autre fois, il hérita d’une vie éternelle, mais mes prédictions nous disent que le terme de cette vie va toucher à sa fin dans quelques années, par une grande défaite, qui lui causera la mort.
Par ces mots il se sentit mal, son maître allait mourir bientôt alors, que presque aucun hommes et ennemis ne l’avaient encore blessé gravement. Dire que le suladân avait la vie éternelle grâce à un dieu parut bizarre pour lui. Le capitaine se dirigea vers les archives.

Bonne premiere partie avec de l'action comme il faut etc... Peut etre un peu trop de tranchements de tetes^^.
Mais c'est bien écrit.

Trop bien !

Vivement la suite !

J'adore ton histoire, vivement la suite. Tu écris très bien.

Pourquoi ten de haine mdr .Non super sauf que les têtes vole un peu trop

Merci pour vos commentaire, mais pour les têtes il y en aura moins^^ car la suite est déjà ecrite ^^

Bravo pour l'histoire

Edit aragorn555:J'ai décidé que tu auras un averto pour ton écriture, ton flood et tes monolignes!

La salle était grande, au centre un habitant semblait surveillez les archives, Caryäk avança jusqu'à lui.
- Qu’avez-vous sur le suladân ?
- Rayon, 63 à gauche, nous avons la légende.
Le capitaine marcha prit le livre, s’assis et lu :

Le suladân, a longtemps été le plus grand guerrier du monde, un jour dans l’Harondor, la défaite était imminente, quand le guerrier s’agenouilla et pria au dieu de la guerre, une force intérieur le poussa a se lancé avec ces derniers hommes, il tira trois flèches qui tua des ennemis puis au moment ou ces ennemis avancèrent trop prêt il prit son épée et tua tous le monde sur son passage, la défaite devenu victoire, ace jour le suladân hérita de la vie éternel, pour détruire les gondoriens, mais un jour sa vie se terminera…

Un message arriva pour Caryäk assis devant le livre, ce semblait être une mission.
- Nous avons détecté des orques en plein harad, il sembla cherché quelques choses dans les ruine, nous devons y allé capitaine.
- Il faut réunir les troupes, notre quête recommence.

Réunir les troupes fut rapide, la haute porte laissa passé, les soldats la passèrent avec Caryäk. Le voyage fut long, mais a mis chemin des wargs sauvage attaquèrent les cavaliers. Notre héro tira trois dans la tête d’une des créatures qui fit tuer. Des soldats tombèrent de leurs chevaux à cause des wargs. Un warg sauta sur Caryäk, qui tira une flèche dans le ventre de la créature, mais la bête n’était pas encore morte et fit tomber le capitaine de son cheval. Son arc vola en l’air, il dégaina ses deux épées et trancha la gorge du warg. Une autre créature couru vers l’haradrim, qui esquiva la charge et enfonça l’épée dans le dos de la bête, mais il ne sut pas rattraper l’épée car le warg partit chargé quelqu’un d’autre, il se retourna et fonça une nouvelle fois vers notre héro, qui trancha la tête du warg. Cette petite bataille fut terminée, il devait avoir dix mort haradrim sur cinquante, ils reprirent le chemin vers les ruines serpents.

Arrivé sur place, les soldats se cachèrent à l’abri des regards des orques. Il semblait cherché quelques choses lui deux criait :
- Plus de neuf, bande d’escargot !
Les haradrims préparèrent leurs arcs, Caryäk donna l’ordre de tirer se qui abattu des ennemis. La bataille commença, les orques sortirent des ruines, Caryäk coura en tirant des flèches, puis au moment où il s’approcha des orques, il sortit ses deux épées. Un orque l’attaque par derrière, mais le capitaine s’accroupit pour évité le coup, puis en se levant l’haradrim enfonça son épée dans le ventre de l’ennemis. Caryäk tua un ennemis et pénétra dans les ruines, des orques l’attendais, il reprit son arc et tira sur trois ennemis qui tombèrent a terre, ensuite reprit ses épées et décapita deux ennemis, mais les autres orques l’avait déjà encerclé, l’un d’eux coura vers Caryäk qui esquiva le coup qui fit dévié vers un autre ennemis, notre héro cala les coups, puis tua un ennemis, ce qui fit un passage pour se rendre dans les ruines. Mais là, se trouvait un capitaine orque, armé d’une grande épée, le teint de sa peau était brune. Le capitaine marcha vers Caryäk, à ce moment sur un pont un orque voulut tirer sur le capitaine, mais l’haradrim lança une de ses épées sur lui, son corps et sa tête tomba. Le capitaine orque frappa avec son épée, mais Caryäk cala le coup, puis a son tour il tapa, mais l’orque esquiva et balafra a la joue Caryäk, qui contra taqua et lui blessa la jambe, mais l’ennemis n’avait pas mal, car il essaya de couper la tête du capitaine qui cala l’attaque, ensuite il coupa une des mains de l’orque qui recula. Un ennemis vint tirer une flèche dans l’épaule gauche de Caryäk, la douleur le fit s’agenouillé a terre, mais un force le fit relevé et il courut vers le capitaine ennemi. Le combat fit rude entre eux deux, le capitaine haradrim en termina en lui coupant la tête, mais a se moment précis un orque lui enfonça une épée dans le genou. Il se retourna et lui mit sa lame dans le cœur, la bataille fut terminé seul cinq haradrim avait survécu.
- Capitaine, il y a un survivant
Caryäk marcha vers lui, traînant sa jambe blessée, l’orque était à moitié mort
- Que cherchez-vous ici ?
L’orque commença a rigolé en toussant, Caryäk se leva et dit :
- Tué le, il ne nous sera d’aucune utilité.
La jambe et l’épaule de l’haradrims le fessait souffrir, il monta sur sa monture.
- Où allons-nous capitaine ?
- Vous verrez bien.
Le voyage en pleine nuit était long et fatiguant, mais en arrivant devant la grande ville, les soldats la reconnurent, c’était la ville royal, surnommé la ville imprenable. Les inscriptions sur la muraille désignaient un serpent noir.
- Qui va là ? cria un garde

Notre héro s’avança devant la muraille, le bras pendant par la douleur.
- je suis Caryäk et voici mes troupes.
La haute porte s’ouvrit, laissant passer la rue en pavé gris. Il descendit du cheval, à ce moment un soldat arriva :
- Vos armes, s’il vous plaît
- Pourquoi devrais-je donné mes armes ?
A ces mots le garde prit son sabre, il fallait dire que la réputation de notre héro ne laissait pas à désirer, on le surnommait le « sanguinaire », un nom qu’il refoulait.
- Très bien, mais s’il arrive quelques choses a mes lames, ta vie ne tiendra plus cas un fil !
Le capitaine, marcha jusqu’au temple royal, où trois gardes gardaient la porte. Désarmés, blessés et en pleine ville royal, il n’allait pas faire de folie. Il détourna son chemin jusqu'au centre de la cour, où se trouvait la statue du seigneur serpent :

La lame en l’air, laissant voir un tatouage, bizarrement, cette marque lui sembla familière, un serpent noir rampant. C’est le suladân avait le même sur le bras, qu’elle était le rapport, la vie éternel venait t’elle de se tatouage ? Caryäk partit dans une auberge.

A l’entré le bar était calme, des hommes jouaient a un jeu avec de grandes figurines, mais au bout un groupe de mercenaire de Khand fixèrent l’haradrim, il était désarmé comme tout le monde. Se que le capitaine compris, c’est qu’il n’était pas là pour rien.
- Se serait pour une chambre ?
Il sortit la clé, sa main tremblait.
- Qui sont-ils ?
- Des mercenaires, là rumeur dit qu’ils auraient passé la muraille se fessant passé par des marchants, ils sont venu pour tué quelqu’un. Je suis désolé mais il semble, que vous et vos troupes ayez détruit un village Khand, votre nom est connu dans ces terres.

Caryäk retira son foulard, laissant voir son visage, ses yeux vert et c’est cheveux court. Il prit une porte à gauche, le couloir était long, il sentit une présence derrière lui. Soudain un homme passa devant lui, un mercenaire avec un couteau en main. Le sourire se fit voir sur les lèvres de notre héro, l’ennemis derrière voulut lui donné un coup dans le dos, mais le sanguinaire était salement blessé. Il avait caché dans sa ceinture un couteau, il l’enfonça dans le bras du Khand, celui devant lui essaya de lui tranché la gorge, mais Caryäk esquiva et le couteau s’arrêta dans la gorge d’un de ces allié, ensuite l’haradrim enfonça son arme dans le cœur de son agresseur. Deux mercenaires arrivèrent des deux sens du couloir, le capitaine lança son couteau dans la gorge de l’un d’eux et attrapa le poignet de l’autre, ensuite lui donna un coup de coude dans le visage et termina par le tué en utilisant le couteau du mercenaire.

Il monta dans sa chambre et se fit deux atèles en bois et retira son armure lourde. Quand soudain quelqu’un vint toquer à la porte :
- Monsieur un message du roi vient d’arriver
La porte ouverte le message dans les Caryäk n’en croyait pas ces yeux.
A SUIVRE …

J'adore toujours aussi bien. Vivement la suite

J'aime beaucoup ton histoire mais dis moi tes orientaux ne se battent que contre des orques........^^

Très très bien, vivementla suite

- Que cherchez-vous ici ?
L’orque commença a rigolé en toussant, Caryäk se leva et dit :
- Tué le, il ne nous sera d’aucune utilité.
La jambe et l’épaule de l’haradrims le fessait souffrir, il monta sur sa monture.
- Où allons-nous capitaine ?
- Vous verrez bien.
Le voyage en pleine nuit était long et fatiguant, mais en arrivant devant la grande ville, les soldats la reconnurent, c’était la ville royal, surnommé la ville imprenable. Les inscriptions sur la muraille désignaient un serpent noir.
- Qui va là ? cria un garde

Notre héro s’avança devant la muraille, le bras pendant par la douleur.
- je suis Caryäk et voici mes troupes.
La haute porte s’ouvrit, laissant passer la rue en pavé gris. Il descendit du cheval, à ce moment un soldat arriva :
- Vos armes, s’il vous plaît
- Pourquoi devrais-je donné mes armes ?
A ces mots le garde prit son sabre, il fallait dire que la réputation de notre héro ne laissait pas à désirer, on le surnommait le « sanguinaire », un nom qu’il refoulait.
- Très bien, mais s’il arrive quelques choses a mes lames, ta vie ne tiendra plus cas un fil !
Le capitaine, marcha jusqu’au temple royal, où trois gardes gardaient la porte. Désarmés, blessés et en pleine ville royal, il n’allait pas faire de folie. Il détourna son chemin jusqu'au centre de la cour, où se trouvait la statue du seigneur serpent :

La lame en l’air, laissant voir un tatouage, bizarrement, cette marque lui sembla familière, un serpent noir rampant. C’est le suladân avait le même sur le bras, qu’elle était le rapport, la vie éternel venait t’elle de se tatouage ? Caryäk partit dans une auberge.

A l’entré le bar était calme, des hommes jouaient a un jeu avec de grandes figurines, mais au bout un groupe de mercenaire de Khand fixèrent l’haradrim, il était désarmé comme tout le monde. Se que le capitaine compris, c’est qu’il n’était pas là pour rien.
- Se serait pour une chambre ?
Il sortit la clé, sa main tremblait.
- Qui sont-ils ?
- Des mercenaires, là rumeur dit qu’ils auraient passé la muraille se fessant passé par des marchants, ils sont venu pour tué quelqu’un. Je suis désolé mais il semble, que vous et vos troupes ayez détruit un village Khand, votre nom est connu dans ces terres.

Caryäk retira son foulard, laissant voir son visage, ses yeux vert et c’est cheveux court. Il prit une porte à gauche, le couloir était long, il sentit une présence derrière lui. Soudain un homme passa devant lui, un mercenaire avec un couteau en main. Le sourire se fit voir sur les lèvres de notre héro, l’ennemis derrière voulut lui donné un coup dans le dos, mais le sanguinaire était salement blessé. Il avait caché dans sa ceinture un couteau, il l’enfonça dans le bras du Khand, celui devant lui essaya de lui tranché la gorge, mais Caryäk esquiva et le couteau s’arrêta dans la gorge d’un de ces allié, ensuite l’haradrim enfonça son arme dans le cœur de son agresseur. Deux mercenaires arrivèrent des deux sens du couloir, le capitaine lança son couteau dans la gorge de l’un d’eux et attrapa le poignet de l’autre, ensuite lui donna un coup de coude dans le visage et termina par le tué en utilisant le couteau du mercenaire.

Il monta dans sa chambre et se fit deux atèles en bois et retira son armure lourde. Quand soudain quelqu’un vint toquer à la porte :
- Monsieur un message du roi vient d’arriver
La porte ouverte le message dans les Caryäk n’en croyait pas ces yeux.
A SUIVRE …

Bravo jéspére que la Esuite arive bientot ses super.

Edit Dunedain: correction: Bravo j'espère que la suite arrive bientôt c'est super.
Alors d'un develloppe plus ton message parce que la il sert a rien et de deux l'ORTHOGRAPHE BON SANG DE BONSOIR

Toujours aussi bien mais tu as mis déjà cet extrait plus haut^^
Enfin bon à part je trouve ton histoire trop bien continue comme ça