J’étais
J’étais … Plus… Autrefois.
Dévoué à mon roi je conduisais ses armée dans les lointaines contrée et nous combattions avec bravoure contre les orcs. Chef de guerre, tel était mon titre… Cela ne signifie rien. Ce que j’ai été ne change rien ou plutôt si ; c’est pour cette raison que j’ère, mais quelle raison ? Dois-je comprendre? Damné, je suis forcé de erré dans mes souvenirs. Pour y chercher une réponse? Réponse à une question jamais posée.
Ce jour là, grandes étaient nos armée, grandes étaient les leurs. Nous nous affrontions pour le salue, l’honneur. Il nous fallais supprimé ces orcs, stupides étions nous! Stupide étais-je. Pas une seule seconde nous nous sommes demandé pourquoi eux combattaient. Quelle question. Ils ne combattaient pour nul autre raison que nous. La Gloire. Après tout, étaient-ils si différent de nous ? Peut-être, sinus nous serions posé cette question, peut-être serais-je libre
L’Honneur? Qu’est-ce? Enlever des vies sous prétexte Qu’elles ne méritent pas d’ être ? Qui sommes nous pour en juger ? Nous ne sommes personne.
Sans voir cette réalité j’ai envoyé mes hommes au combat. Le son du cor de guerre se fit entendre et alors nous combattions. Vainquions-nous ? Ou pas ? Quelle importance. Y a-t-il vraiment de vainqueurs dans une guerre ? Non, il n’y a que la mort ! Cette bataille durait trop. Bien trop de souffrance.
Cela devais faire un jour et une nuit que cette guerre étais livrée quand ça commença. Le ciel devint feu et maintes roches de braise en tomba. Qu’étais-ce ? Même à ce jour je n’en ai pas la réponse. Mais cela nous détruisais. Détruisait toute vie. Sots que nous étions nous restâmes combattre.
Mieux vaut mourir avec honneur que de vivre dans la honte de la fuite. Sottise ! Je serais libre en cette heure si… peu importe.
Et c’est à ce moment que je vis la seule et dernière chose que je ne pu voir. Pierre de feu parmi tant d’autre, celle-ci tomba là. Et puis plus rien je ne me souvient de rien mais je suis là. Là, si bien même fusse un endroit. Prisonnier de la seule chose qui me reste, mes souvenirs. Fou que je suis , je parle sachant que personne n’entend, que personne n’entendra jamais. Et alors je ère dans ce que j’étais, n’étant plus personne, n’étant plus rien.. Je cherche sans aucun espoir des réponses à des questions jamais posées.
…J’étais.. Plus … Autrefois…